Une étude lancée dès les premiers jours de la crise sur près de dix mille répondants initiaux -et plusieurs milliers de manière hebdomadaire -, nous permet de tirer un premier bilan de nos capacités d’adaptation face à la crise du COVID-19.

Cette étude, basée sur d’importants questionnaires établis par une quinzaine de chercheurs.euses, de spécialistes des crises et de l’adaptation, complète les données de plusieurs travaux menés depuis une quinzaine d’années sur l’adaptation humaine face aux changements profonds. Elle permet désormais de répondre à plusieurs questions, et de poser les bases des actes nécessaires pour évoluer dans notre futur.

Pourrons-nous éviter les grandes catastrophes annoncées – climat, environnement, autres virus – dans le futur parce que nous nous adapterons mieux à la suite de la crise du COVID-19 ?

La volonté de changer les comportements et les actions face aux risques écologiques et aux indécences financières est très marquée chez les répondants. Mais leur propre volonté d’action pour y participer n’est pas encore bien définie pour la plupart. Cependant, plusieurs ont mis des actions en place concrète pour changer des pans de leurs vie dans le futur !

Quels sont les mécanismes cognitifs et les évolutions mentales, mis en place face à la crise ? Avons-nous changé de paradigme, et cela nous aidera-t-il à modifier certains de nos comportements ? Avons-nous seulement compris qu’il y avait une crise ?

Des questions qui se posent très concrètement au vu des premiers résultats.

Ces questions sont pourtant fondamentales au moment d’envisager notre futur et celui de la planète en général.

Avec l’étude COVADAPT, Human Adaptation Institute essaye d’y répondre.

Mais surtout, couplé à nos travaux menés depuis une quinzaine d’années sur les capacités humaines d’adaptation, nous allons proposer des solutions concrètes, actionnables immédiatement, pour sortir du déclaratif et entrer dans les actions. Une volonté d’agir qui ne peut passer que par l’adhésion et l’engagement du plus grand nombre, et donc par des changements de paradigmes cognitifs pour que cela soit possible.

La crise du COVID-19 a-t-elle permis ces évolutions de paradigmes, ces évolutions cognitives indispensables, sans quoi toutes solutions resteraient encore des propositions utiles ?

Réponse le 27 mai, avec :

  • Les résultats préliminaires de la phase 1 de l’étude COVADPT.
  • Des propositions pour aider et soutenir les personnes en détresse mentale.
  • Des propositions d’actions concrètes pour réduire nos impacts sur nos environnements par un changement de paradigmes cognitifs, possible après cette crise du COVID-19.

Inscription (gratuite mais obligatoire) :